Abaddon Bélial Lestrange _-_ Tout sauf seul _-_

Chapitre Premier : Sans famille une vie n’est rien d’autre qu’une demie-vie, une vie maudite.

La vie est souvent injuste envers ceux qui l’ont le moins mérité, mais n’est ce pas juste alors que ce qui le méritent ne souffrent pas ? C’est forcément pour endurcir le besoin de pouvoir, l’envie de vengeance des douleurs passées que la vie épargne ceux qui méritent les pires châtiments. Après tout n’est-il pas logique que la vie soit injuste ? La justice n’a jamais été la réponse aux attentes d’un peuple, sinon pourquoi les systèmes auraient tant changé depuis leur création ? Soyons logiques, pour parer à la décadence pas d’autre arme que l’innovation. S’il n’avait jamais été un des grands novateurs de ce monde c’était peut être à cause d’un trop grand attachement aux règles ancestrales de la société que l’on nomme couramment la Haute Bourgeoisie sorcière. Mais tout cela changeait, comme les choses, quand un tel besoin se faisait ressentir il fallait compter sur le Lord pour apporter ce changement en temps et en heures.

Les bouleversements politiques, les différentes sociétés que sa lignée avait connu s’étaient montrés fort nombreux et pas toujours bénéfiques pour ses congénères et lui même. Il était donc temps. Si le changement pour le changement ne devait être effectué, le progrès pour le progrès était à encourager de façon non négligeable. C’était en effet un point sur lequel tous les membres de la Révolution étaient d’accord. Cette Révolution, était elle finalement qu’un simple retour aux mœurs passées de leurs aïeuls à tous ? Ou était-elle une guerre sans pitié contre une forme de dictature du silence qu’avait instauré le ministère ? Ne jamais croire ce que disent les gens du ministère était devenu une règle d’or, du moins jusqu’à ce que son ami Vassago Malefoy ne devienne un membre important et très proche du Ministre, puisqu’il devint le vice premier ministre. Ainsi la Révolution était sûre de n’avoir aucune déformation quand les comptes rendus étaient faits.

Abaddon quant à lui avait préféré un rang plus discret bien que tout aussi intéressant et néanmoins très important qu’est celui de Chef du département des Mystères. Un simple titre enrobé de tant de voiles impénétrables, il avait fallu cinq ans à son sous fifre pour atteindre une place où son salaire était correct et où son rôle dans le ministère n’était pas trop dérisoire. Alors qu’avec de grandes effluves d’argent, un pouvoir charismatique, une assurance à toute épreuve et une femme fantastique, Bélial était arrivé en une semaine au plus haut rang d’un département très mystérieux qui laissait planer le doute sur les affaires qui étaient traitées de façon interne. Sa femme, oui sa femme, vous avez bien lu. Ne vous l’a-t-on pas encore présenté ?

Cimeries de son prénom cette beauté angélique et en fait une des femmes les plus puissantes que la Grande-Bretagne pouvait se vanter de compter. Si les deux Lords Malefoy et Lestrange étaient à eux deux, deux des hommes les plus influents du Ministère il y avait fort à parier que la femme de chacun n’était pas pour rien dans cette histoire. Les femmes des deux Lords étaient donc cousines et elles avaient tant de points communs que parfois la réaction de l’une faisait penser à celle de l’autre. Si elles n’étaient pas les épouses de leurs maris on pourrait croire qu’elles ont reçu une formation en manipulation et en douceur. Comprenez par là que malgré un non catégorique celui-ci est toujours dit avec la plus grande des douceurs, mais n’est heureusement jamais contredit, les ravages dans le cas contraire seraient assurément dévastateurs. Mais parlons plutôt de Cimeries en elle même.

Belle, douce, élégante, manipulatrice, puissante, intelligente. Chercher les défauts de cette femme c’est l’épouser et passer une vie avec elle, l’embrasser, l’aimer, la chérir et même après tout ce temps qu’il avait passé avec elle ses maigres défauts lui semblaient toujours inconnus. C’était elle, elle était son évidence, il était la sienne, leur âme avait croisé une âme jumelle et s’y était mêlée pour y former l’éternité. Leurs longues nuits d’étreintes passionnées n’avaient jamais cessé mais n’avaient jamais engendraient qu’une seule et unique enfant. Leuviah Pan. Il faut connaître l’étymologie de ces noms pour comprendre le choix du père d’appeler sa fille Pan qui est son second prénom et non Leuviah. En effet étymologiquement Leuviah est un ange et Pan un démon, comprenait donc qu’il préfère Pan.

Leuviah Pan Lestrange… Une identité composée de trois parties pour au moins autant de mystère, mais que dire sinon qu’elle était pour ses parents la fille parfaite ? Belle c’était incontestable, intelligente à sa façon elle n’était pas un génie, mais arrivait à se sortir de n’importe qu’elle situation en utilisant sa tête et son sang-froid. Mais, en dehors du fait qu’elle était l’héritière du titre de ses parents, d’une moitié de leur fortune et de leur influence, rien ne peut être plus bête que de vous en dire trop sur cette femme fatale en devenir. Entre Manipulation, Orgueil et Confiance en soi, une conclusion s’impose elle n’est pas un ange, comprenez donc que Abaddon la nomme Pan. C’est avec une évidence absolue qu’à sa naissance elle fut promise à Sammael Paymon Longdubat.

Après cette fille de sang, il arrivait Hariel Eris Delacour Lestrange. C’était une enfant adoptée, en effet la grossesse à problèmes de Cimeries ne leur avait pas permis d’avoir d’autres enfants biologiques, mais quand le reste de la famille Delacour périt dans un dramatique accident, si toutefois s’en fût un, le couple Lestrange adopta la belle vélane qu’est Eris. C’est une demoiselle toute aussi complexe que sa sœur, mais différente, très différente, premièrement, elle n’est pas une descendante directe et peut-être que caractériellement parlant cela joue. En effet elle est beaucoup plus douce, que Pan, mais ne vous y fiez pas trop, ce n’est qu’une apparence. Pragmatique et intelligente, manipulatrice et vicieuse, elle n’est ni plus ni moins qu’une fille Lestrange malgré l’absence de liens du sang. Cette belle plante, est promise à un des enfants Longdubat, à savoir à Camael Daniel.

Le patriarche de cette famille est donc le beau et puissant Abaddon. Homme mystérieux qui laisse planer autour de lui un voile d’incertitudes, des rumeurs courent sur ses agissements et sur la raison de son retour en Angleterre, il est d’après les rumeurs les plus folles un des derniers sorciers à pratiquer de la magie qualifiée de noire, il le cache mais il aurait vraiment aimer que ces rumeurs soient vraies. D’un charisme impressionnant, il est un manipulateur né, et si son allure sûre et sa démarche fière font taire son entourage ce n’est pas tant par crainte que par respect. La crainte de ce personnage vient ensuite quand on le « chatouille » l’homme laisse s’exprimer la bête, et là, c’est l’explosion, tout un flot de colère se déverse sur la cible. En dehors de tout cela il n’est pas de ces gens que l’on trouve facilement « commode », un air froid et toujours indifférent on peut parfois apercevoir une touche de dégoût quand les agissements de ses pairs lui font honte, mais sinon il est l’impassibilité même, c’est une qualité qu’il espère avoir transmise à sa fille. Son seul point faible, sa famille, ne pas y toucher sous peine de déclencher chez lui une colère plus grande que personne n’en a jamais vu.

Chapitre second : C’est pour jouer, c’est pour jouer, le monde est un spectacle.

Sa vie, cette comédie, il n’avait jamais été une personne très centrée sur son nombril, au contraire il avait même toujours été ouvert à autrui, du moins quand il jugeait l’autre en question suffisamment intéressant. Selon d’où partait la pièce de théâtre de sa vie, on pouvait croire qu’il était un solitaire, mais en élargissant le focal de sa vue on apercevait rapidement des personnages pâles en fond d’écran puis se dessinant avec relief les nouveaux rôles principaux, puis dans un ultime zoom on pouvait leur donner une identité, l’entourage de Abaddon était son seul refuge, là rien d’autre ne comptait que l’amour qu’il leur portait.

Comprenez donc qu’il ne vit que derrière un masque, c’est en cachette qu’il fait tout, ce n’est pas véritablement le plaisir de jouer la comédie mais plutôt la nécessité de se cacher pour exploser de pouvoir au grand jour. Aux yeux du monde sorcier il était un homme puissant et respecté. Aux yeux de son entourage un homme puissant, respecté mais vrai. Sa puissance était totalement différente quand il s’agissait de celle qu’il montrait aux autres et celle qu’il montrait à ceux qu’il aimait, la première était la puissance au sens propre, la seconde relevait du caractère, de sa force de persuasion et de ce que l’on appelle couramment l’aura.

Voyez, la vie en société est un éternel combat et comme il est d’une grande force mais qu’il est loin d’être invincible il a trouvé une épaule sur qui s’appuyer en cas de coup dur, Cimeries, sa douce femme qui le défend bec et ongle en une réplique. C’était peut-être la personne qu’il aimait le plus dans ce monde, même sa personne lui semblait dérisoire quand il était avec sa femme, quand il était sur sa femme, quand il était dans sa femme. Chaque nuit était un enchantement et même après vingt-et-un ans il redécouvrait chaque nuit sans se lasser les courbes parfaites, le charme envoûtant, la beauté divine, les baisers ardents de celle qu’il avait épousé.

Son cœur risquait un jour de le perdre mais sans elle il ne voyait plus la raison pour laquelle il subsisterait, sans elle ses jours seraient tristes et ses nuits longues. Elle avait ce don de faire passer un temps infini pour une courte pause. Elle était la maîtresse du temps, chaque moment passé dans ses bras était un condensé de toutes les émotions de joies qu’il était humainement possible de ressentir.

Sa chair, seule sa fille en était le fruit et malgré tout l’amour paternel qu’il lui portât il se sentait incapable d’être un grand affectueux avec elle, il se sentait constamment obligé de l’endurcir encore plus pour qu’elle soit prête à être celle qui reprendrait les titre de noblesse et celle qui transmettrait le sang de sa famille. Bien sûr il n’était pas distant envers elle, mais les rares marques d’affection qu’il lui prodiguait étaient données dans l’intimité du bureau, avant les jours importants, mais rarement devant le reste de sa famille, peut être en souffrait-elle mais elle était celle qui lui succèderait, qui leur succèderait.

Pour Eris l’histoire était tout autre, elle n’était pas sa fille de chair mais sa fille de cœur c’était là l’une des grandes différences qu’il faisait entre les deux jeunes filles, bien sûr maintenant ça n’avait plus d’importance mais dans le passé quand les deux filles n’étaient encore que des fillettes ces marques d’affections plus prononcées envers Eris qu’envers Pan créaient des tensions, comme dans toutes les histoires de frères et sœurs d’ailleurs. Mais à cause de l’histoire qu’avait connu la bambine il lui avait prodigué l’amour que ses défunts parents lui auraient aussi accordé.

Son cercle d’amis se limitait aux membres de la nouvelle Révolution mais c’était encore un sujet trop secret pour qu’il en soit fait mention longuement, on pouvait seulement en dire qu’ils étaient tous des personnes d’influence dans le monde sorcier et que leur visage n’était pas inconnu à la face du monde. Pour une majorité écrasante des sang-purs.

Alors si vous vouliez connaître Abaddon, laquelle des faces préfèreriez vous fréquenter, la face crainte qui se trouve la plus connue, ou la face cachée qui ne se dévoile que dans les moments de joie et dans l’intimité du foyer ?

Le choix vous semble-t-il évident ? Si oui vous êtes en train de vous tromper. Sachez que les deux faces peuvent être totalement destructrices. Si vous n’êtes pas préparé à tomber face à un mur d’acier dans le premier cas vous vous prendrez de face une paroi infranchissable, quant à la deuxième face un seul acte de travers et si vous n’êtes pas un ami proche c’est la souffrance.

Finalement cet homme est différent des autres dans une certaine mesure, mais il est semblable en un point. Il ne supporte pas l’absence de l’être aimée. Tout sauf seul, telle est sa devise.

Chapitre Dernier : Une vie de tout, une vie de vous.

Extrait du journal intime de Abaddon Bélial Lestrange.
Ecrit le 18/10/2070

Journal.
Les présentations n’étant plus d’actualité il est temps qu’un résumé de mes 20 premières années te soit fait, car tu dois être un recueil de mon âme et d’après Père, tous les Lestrange âgés de 20 ans en reçoivent un, alors n’échappant pas à la coutume je m’y plie, et cela bien volontiers écrire a toujours été une chose que je me plais à faire et que j’ai de la facilité à faire. Alors malgré le ton parfois cérémonieux parfois cru, que j’emploierai il faut savoir que tout n’est finalement que reflet de mon âme à l’instant où je l’écris.

Alors, jusque là ma vie n’est vraiment pas intéressante, elle est somme toute très banale pour quiconque a connu la vie de riche héritier. Mondanités, bals, fêtes entre jeunes gens politiquement correct… Tout ça il faut que tu le saches ça m’épuise ! C’est très peu divertissant et les gens là bas sont tous, mais vraiment sans exceptions, des mauvais acteurs. Il n’y en a pas un qui sache faire face et la simple mention de mon nom glace à chaque fois l’ambiance, pourtant avec leur patronyme tout aussi clinquant que celui de Lestrange ils ne devraient plus être impressionnés mais apparemment la puissance qui est encore présente dans ce passe VIP nominal est finalement très sympathique.

Finalement je pense que de toutes les fêtes que j’ai écoulé, le seul qui me soit semblable est cet autre héritier masculin d’une famille au nom aussi encré dans l’histoire. Vassago Malefoy. C’est jusqu’ici le seul avec qui j’ai tenu une conversation intéressante et intelligente pendant une fête. Nous avons gardé un bon contact et nous nous voyons maintenant régulièrement, nos parents se connaissant. Mais avant de te parler de l’actualité j’aurais dû parler du passé avec mon enfance et ma scolarité.

Mais l’enfance c’est très loin, j’en garde un souvenir superbe, des voyages, des couleurs, de la magie dans les yeux que je scrutais dans le miroir, des paysages qui défilent sous mes yeux de gamin et puis, le bonheur tout simplement. La scolarité par contre ce n’est pas tellement loin mais je n’ai pas envie d’en parler, il n’y a rien à savoir sinon que j’ai, pendant toute la durée de ma scolarisation, été un des meilleurs élèves de ma promotion et que j’ai très bien réussi à me placer parmi les élèves connus, si je peux me permettre l’expression.

Enfin, finalement le plus important maintenant c’est mon avenir et mon futur mariage.

Oui je ne t’ai pas parlé de la fille que je vais épouser, c’est une sacrée bombe, elle est physiquement parfaite, même si elle est actuellement un peu jeune. Enfin elle a deux ans de moins que moi, mais si tu avais des yeux pour voir sa beauté, elle resplendit de beauté et nous ne nous sommes donné qu’un seul baiser, mais il nous a scellé pour l’éternité. Elle est ma moitié j’en suis sûr tu sais, c’est comme si on n’avait pas besoin de le dire pour sentir l’amour de l’autre.

Enfin dans 6 mois nous aurons un mariage digne des plus grands et nous ferons notre vie ensemble, nous aurons des enfants et nous vivrons heureux. Pour toujours.

Abaddon.

Fin de l’extrait.

Nouvel extrait du journal de A. B. Lestrange.
Ecrit le 31/12/2078

Les jours passent, les mois, les années, tes pages se remplissent rapidement n’est-ce pas ? Je suppose que c’était ça le but ? Enfin, il faut que je fasse un récapitulatif de ma vie maintenant, après huit années passées à écrire je pense qu’un résumé s’impose.

Je me suis marié et je vis l’idylle la plus divine qui soit, nous nous aimons tendrement, avec passion, nos nuits d’ébats ont donné naissance dans le courant de l’année à une petite fille Leuviah Pan Lestrange. Elle est sublime, c’est vraiment mon petit ange, elle me fait beaucoup rire, si tu savais, je suis sûr qu’elle sera aussi belle que sa mère bien que très différente. C’est le deuxième grand amour de ma vie.

Mes liens avec les Malefoy se sont intensifiés vu que la femme de Vassago et la mienne sont cousines. Nous passons de nombreuses soirées jusqu’à tard le soir, ou tôt le matin c’est au choix, à refaire le monde, et je suis sûr qu’un jour nous mettrons en place une sorte de Révolution, Vassago et moi en parlons souvent. C’est une idée très intéressante bien qu’elle ne soit pas forcément du goût de tout le monde.

Cette année a été riche en rebondissements autres, mais tu sais, le plus important reste ma famille, et maintenant elle s’est agrandie, alors je dois être deux fois plus protecteur.

Bon le dernier repas de l’année m’attend, ma fille va sûrement être gâtée en cette fin d’année. Il est temps.

Abaddon.

Fin de l’extrait.

Nouvel extrait du journal de A. B. Lestrange.
Ecrit le 31/12/2080

C’est devenu une coutume je t’écris chaque année un message de fin d’année, en espérant t’écrire encore longtemps des mots représentant mon affection pour toi à qui je suis fidèle depuis maintenant 10 ans.

J’ai maintenant trente ans, je commence à ne plus être jeune finalement, mais c’est la force de l’âge alors je profite. Comme tu le sais je ne pouvais plus avoir d’enfant avec Cimeries à cause des problèmes que nous avons rencontré durant sa grossesse, mais il se trouve que nous en avons un de plus à la maison, du moins devrai-je dire une ?

Hariel Eris Delacour Lestrange. Tout cela pour elle, je sais ça fait beaucoup, mais après tout pourquoi pas ? A la mort du reste de sa famille, Cim et moi l’avons adopté, elle était belle, si tu savais du haut de ses un an elle se tenait debout me tendant les bras, je l’ai attrapé et nous l’avons adopté. Elle est une des nôtres maintenant. C’est une Vélane, elle a donc une beauté exceptionnelle mais pour l’instant elle est juste très attirante, les gens la trouvent tous belle etc.
Le repas de fin d’année commence cette année nous recevons les Malefoy, et Vassago m’a dit que Azazel avait une grande nouvelle. Allons voir de quoi il s’agit.

Abaddon.

Fin de l’extrait.

Extrait final du journal de A. B. Lestrange.
Ecrit le 31/12/2098

Voilà maintenant vingt-neuf ans que je t’écris presque quotidiennement quelques mots. Cette année les nouvelles sont nombreuses.

Tu sais déjà que nous avons commencé la Révolution, et donc que les moyens pour parvenir à nos fins doivent être grands. Premièrement je me suis rendu en prison pour libérer le funestement célèbre Amant du Soir. Eden Crane. La rencontre a eu lieux dans une prison assez austère, qui devrait être qualifiée d’insalubre d’ailleurs. Il a accepté de travailler pour nous en échange de sa liberté, ce qui n’est finalement pas négligeable et pourquoi se salir les mains quand un homme prend du plaisir à le faire ? Logiquement nous lui avons relégué la tâche de tuer le Ministre.

Le plan étant en marche Vassago et moi-même avons infiltré le Ministère pour ne pas arriver juste après la mort de celui que nous faisons assassiner. Vassago en bon meneur a donc pris la tête des opérations en étant le vice premier Ministre. Quant à moi j’ai gardé nos arrières avec le département des Mystères. Maintenant la vie fera son travail et bientôt la Révolution prendra place. Azkaban est déjà le lieu rêvé pour cela et nous l’avons déjà investi.

[ajout]Nous nous appuyons sur la force de feu que nous fourni Lord Weasley grâce au pouvoir qu'à développé sa famille depuis longtemps, il est en fait notre fournisseur en munitions et grâce à son aide la bataille ne sera que plus aisée.
Nos familles, Malefoy, Weasley et Lestrange, se sont depuis longtemps rapprochées mais maintenant nos desseins suivent une direction commune. De plus mes filles étant destinées à se marier avec les héritiers Longdubat, Azure Malefoy est elle aussi promise à un sang-pur, à savoir l'aîné des garçons Weasley.

Tu connais les coutumes je ne peux pas te parler trop longtemps. Cette année nous sommes reçu chez les Malefoy, au grand complet. Asmodée leur fils sera là, il sort de Poudlard pour ce repas, Azure sera là aussi, Azazel et Vassago nos hôtes. Ce sera un 4 contre 4. Cimeries, Pan, Eris et moi, serons de l’autre côté de la table et nous festoierons pour l’an nouveau.

Abaddon.

Fin de l’extrait.

[Total : Word affiche : 3458 mots]

HJ

Demande particulière : Oui, acceptez moi Very Happy

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Que pensez vous du forum ? : Je l'aime déjà I love you

Avatar qui représente le personnage : Julian McMahon -très bon choix Heroïne-

Avez vous lu le règlement ? : validé Like a Star @ heaven

Comment avez-vous connu le forum ? : Par Heroïne et Emy

Quel âge avez-vous ? : 15ans

Comment estimez-vous votre qualité de jeu ? : Je dirais bonne Smile

Bienvenue sur Legilimens, Abaddon

Que dire ? J'ai vraiment adoré ta fiche ! Elle est sublime !
Tu fais quelques fautes ait/é/er, mais ce n'est pas trop fréquent, tu t'es beaucoup amélioré sur ce point !

Sinon, ce qui me gène le plus, c'est que ... tu as oublié de parler dans votre projet de Lord Weasley (fourniture, ...). Il ne faut pas oublier que sa famille est quand même proche des Malefoy, étant donné qu'Azure est promise en mariage à leur aîné ^^

Ajoute une phrase ou deux dans ton journal à son propos, et je valide ça sur le champ !

(Code validé)

» Leuviah Pan Lestrange [UC]
» Cimeries M. Lestrange ~
» Hariel Eris Delacour Lestrange [En Cours]