Alcide L. Pryce
Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 10/02/2008
| Sujet: Alcide Pryce [U.C] Mer 13 Fév - 19:40 | |
| Demande particulière : Quelque chose à nous demander ?Nan Que pensez vous du forum ? : Avatar qui représente le personnage :
Alan Rickman [ si je ne change pas en cours de route] Avez vous lu le règlement ? :Comment avez-vous connu le forum ? :
Par hasard Quel âge avez-vous ? :17 ans Comment estimez-vous votre qualité de jeu ? :
On va dire potable hein x) Ne crains rien de moi Je ne troublerai pas Ton bonheur qui commence Où finit ma joie Un mariage. C’est beau. Tous sont conviés. On oubli personne, ou alors on tache de… Le plus beau jour pour les deux concernés. Le cauchemar pour celui de l’ombre. Mais ce n’est pas tant lui qui est intéressent, pour le moment. Alors ils sont là. Les deux futurs époux. Lui, qu’importe, le regard du curieux ne passe qu’un bref instant sur cet homme, celui qui a volé sa place. Les prunelles aciers se fixent sur l’Ange. Car c’est ainsi qu’il l’appelait avant… avant qu’elle ne parte. Voler. Arracher. Perdue. Symphony. Le curieux est là, parmi les invités, elle ne l’a pas reconnu. Après tout, cela fait six années, ou peut-être dix. Il faut dire qu’Azkaban n’a pas aidé sa mémoire. Elle en est altérée aujourd’hui. Ainsi, une heure peut lui paraître une journée et inversement. Tout se confond. Mais là encore, ce n’est pas le problème principal de cet homme qui ne cesse de fixer l’Ange. Alors il attend, sagement, comme tout enfant a qui on aurait promis récompense pour bonne conduite. Mais il n’a rien d’un enfant. Non. Chacun de ses traits est marqué, a une histoire. Douloureuse, son passé est douleur, son avenir… Merlin, cet homme là ne parle pas au futur mais au passé. Il ne voit pas devant lui mais observe derrière. Alors il écoute, sagement. Un mariage Sorcier est si beau. Oui, le leur aussi avait été beau, somptueux. Symphonie dans sa robe couleur vermeil, ses longs cheveux blonds flottants au vent tels les blés. Image insaisissable. Pensée trop fugace. Il sert les poings. Ne rien faire, il se l’est juré. Attendre la fin. Mais tout ceci lui parait si long. Ce discours, ce gage de fidélité. Un sourire malsain vient de se dessiné. Fidèle. Symphony ne l’est pas. Non, une garce… garce qu’il avait et aime toujours.
* On devrait la tuer. Puis, tu devrais arrêter de faire l’enfant admiratif devant un jouet que tu ne posséderas jamais. *
Faux. Car ce jouet, cette poupée de porcelaine lui appartient. Jamais elle ne l’a quitter. Jamais il n’a admit ceci. Et aujourd’hui, en cet après-midi du mois de Juillet, il est venu récupérer ce qui lui appartient. Alors il s’avance. Lentement. Sûr de lui, attirant les regards des convives. Et elle, enfin Symphony le remarque, enfin elle craint sa réaction. Un pas en arrière, elle tente d’alerter son cher Alexander, son nouveau mari, un Crétin de bourgeois. Mais il ne fait rien. Il ne connaît pas Alcide, il ne comprend pas le danger. L’heureux époux sourit, pense qu’on vient le félicité. Heureux que le Naïf. Il est aveugle… aveugle au point de ne pas comprendre la haine dans l’étreinte que lui offre l’Ombre. Une dague se plante dans la chair du dit heureux. Il ne peut même pas crier. Il n’en a pas le temps. D’ailleurs, Alcide n’est pas venu pour se réjouir de la souffrance, pas de celle d’Alexander du moins.
Une main se pose sur l’épaule de la mariée. Geste possessif. Il vient de transplané.
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